Personne ne te vole ton énergie… Tu t’es simplement identifiée à une illusion.

Croire que quelqu’un ou quelque chose à l’extérieur de toi te prive de ton énergie, c’est déjà t’éloigner de toi-même.

Car rien n’existe réellement en dehors de ta propre conscience.

As-tu déjà ressenti cette impression qu’une personne “te vide”, te fatigue, t’envahit ?

Et si cette sensation n’était qu’un miroir ?

Et si ce que tu appelles “agression extérieure” n’était que la projection de ton propre oubli intérieur ?

Avant de t’accrocher à l’idée que les autres te prennent ton énergie, pose-toi les vraies questions :

  • Pourquoi ai-je créé une réalité où je me sens dépossédée ?
  • Qu’est-ce que je refuse encore d’aimer en moi, et que je préfère combattre à l’extérieur ?
  • Quelle douleur originelle n’a pas encore été accueillie dans ma conscience ?
  • Qui suis-je, si je ne suis plus la victime de l’autre, mais la source de toute perception ?

Car la vérité, c’est que :

Aucun “autre” n’a de pouvoir sur toi.

L’“autre” n’existe que parce que tu t’es d’abord séparée de toi-même.

Tu crois que quelqu’un t’enlève ton énergie ?

Non. C’est toi qui n’es plus alignée avec ton propre centre.

Tu t’es oubliée dans l’histoire, dans le rôle, dans la peur, dans la défense.

Et cette “fatigue” que tu ressens… ce n’est pas de l’usure physique.

C’est la tension permanente de ton mental à fuir ce qu’il ne veut pas sentir.

Peut-être que tu donnes, mais pas depuis l’Être, seulement depuis le besoin d’exister pour quelqu’un.

Peut-être que tu te protèges encore, parce que tu n’as pas reconnu que rien ne peut t’atteindre tant que tu n’as rien à défendre.

Alors la vraie question devient :

  • Qu’est-ce que je protège encore en moi, comme si c’était fragile ?
  • À quel moment ai-je cru que mon énergie dépendait d’un “extérieur” ?
  • Et puis-je me rappeler… que je suis l’unique source ?

Tu n’es pas en danger.

Tu n’as jamais été en danger.

Tu es simplement en train de te réveiller à cette évidence :

le monde ne t’attaque pas, il te montre où tu ne t’aimes pas encore.

Ce que tu appelles “fatigue” est la pression de l’oubli.

Ce que tu appelles “blessure” est l’appel de ta propre lumière.

Respire.

Tu ne reprends pas ton pouvoir.

Tu te souviens que tu ne l’as jamais perdu.

Et cela… c’est le début de la vraie paix.